jeudi 31 mars 2016

mardi 29 mars 2016

Le temps

Aaaaaa le temps est l'attente des(espérante)...
Hier soir, dans un brin d'insomnie, entre conversation avec copines de galère, essayant tant bien que mal de se remonter le moral mutuellement, je suis tombée sur cette phrase. Sortie de son contexte mais tellement vraie..

El tiempo es lento para los que esperan, muy rápido para los que temen, muy largo para los que sufren, muy corto para los que disfrutan, y para los que aman, el tiempo es la eternidad.

Le temps est lent pour ceux qui attendent, très rapide pour ceux qui ont peur, très lent pour ceux qui souffrent, très court pour ceux qui profitent, et pour ceux qui aiment, le temps est éternel.

Qu'est-ce que je deviens a l'eau de rose dernièrement :-)

Ce qui est bizarre est d'être en même temps avec toutes ces sensations mélangées.. Lent et rapide à la fois.. Et heureusement ! C'est peut-être ça ce qui s'appelle l'équilibre 

lundi 28 mars 2016

Talking with your young child about adoption

Pas de chocolat de Pâques pour moi.. Mais un livre qui a l'air passionnant offert par Chéri : "Talking with your young child about adoption" de Mary Watkins et Susan Fisher
Je n'en ai lu que quelques pages pour l'instant. Tu le connais?

J'attend aussi la sortie du nouveau livre de Lemieux, prévu pour le 6 avril au Québec, et environ un mois apres en Europe - un mois pour traverser l'Atlantique.. 

dimanche 27 mars 2016

La petite casserole d'Anatole

On a tous une petite / moyenne / grande casserole que l'on traîne dans notre vie.. Une jolie leçon

jeudi 24 mars 2016

Paillettes et Catastrophes

Aujourd'hui rien à voir avec l'adoption, mais avec les peluches 😃
Une amie, l'artiste de ma superbe bannière de blog, lance un nouveau blog et a demandé la collaboration de plusieurs créatrices pour célébrer le lancement ! Alors je fais figure d'amateur à côté des autres, mais j'y participe avec joie avec Mr Pollito 
Je t'invite à découvrir son univers, son talent et à participer si tu le souhaites 



vendredi 18 mars 2016

Une vie toute neuve - Una vida nueva - A Brand New Life

Corée du sud, en 1975. Jinhee a neuf ans. Son père lui fait croire qu'elle va partir pour un beau voyage. En réalité, il la place dans un orphelinat géré par des religieuses. Jinhee vit difficilement cet abandon et rejette l'idée d'être adoptée. Elle s'enferme dans le mutisme et refuse de se plier aux règles de l'orphelinat. Finalement, elle acceptera de partir dans une famille d'adoption en France. Bien que ce soit la promesse d'une nouvelle vie, cela signifie également faire le deuil de sa famille et de ses nouvelles amies.

 versión española: 
Inspirándose en su infancia, la cineasta franco-coreana Ounie Lecomte narra la historia de una niña abandonada por su padre en un orfanato. Jinhee es una niña de nueve años que convive con su progenitor hasta que éste la abandona sin despedirse de ella en un orfanato de Seúl regentado por monjas. La niña ve pasar los días con la esperanza de que su padre vuelva a recogerla y, mientras tanto, crea una nueva familia con sus nuevas amigas con las que comparte juegos y experiencias. Cuando algunas de sus compañeras se van, consiguen el sueño de entrar a formar parte de una nueva familia aunque, a veces, les entristece separarse del resto. Por eso, Jinhee decide, por un lado, reinventar su propia historia y, por otro, mostrarse silenciosa y ausente con sus potenciales nuevos padres para evitar afrontar una nueva separación. (FILMAFFINITY) en bonus, la peli está aqui (en castellano!) https://gloria.tv/media/cYgGdkpYLqL

mercredi 16 mars 2016

Parents adoptants, et maintenant ?


Lundi dernier l'adoption était encore une fois sujet d'actualité. cette fois sur une chaine régionale catalane, canal 33.
Le format de ce programme est de parler des vrais gens.. toi, moi, eux: les personnes réelles, qui vivent le jour le jour avec des thèmes comme cette fois, l'adoption.

il était donc presenté 3 mères adoptives (Russie, nacional et Ethiopie si je me rappelle bien).
ce que j'ai aimé est que ces femmes ont ouverts leurs coeurs, en expliquant les joies et les difficultés liés à leurs adoptions. Ce que je n'ai pas aimé, c'est que le SAF, encore une fois, était décrit comme une casi certitude..

si tu comprends le catalan, le lien de la video est: http://www.ccma.cat/tv3/alacarta/la-gent-normal/pares-adoptants-i-ara-que/video/5588849/

moi, ça va un peu mieux, parce que je croule sous le boulot.. mais je n'ai pas eu le temps d'écrire - ou de ne pas écrire, à l'agence pour demander des nouvelles fraiches. Merci pour le soutien!

mardi 15 mars 2016

Chère OAA / ECAI

Tu ne t'imagines pas comme cela me démange d'écrire à notre agence pour avoir des nouvelles.. Ni même les statistiques sont à jours sur leur blog! Je me sens dans un vide, un néant.. 
J'ai commencé à écrire un brouillon, mais au bout du "buenos días" un noeud se forme dans la gorge. Je n'ai aucune excuse -- autre que "quoi de neuf?-- pour leur écrire. Nous avons fait tous les cours obligatoire, amené tous les papiers demandés, aucune conférence ou activités à informer, confirmer.. 
Alors, écrire ou ne pas écrire?? Parce que téléphonée j'ai peur de perdre mes moyens..
Et quelle réponse attendre? Le jour où ils seront sûrs de notre assignation, il nous téléphoneront. Pas la veille où ils seront presque sûrs!
Généralement la réponse est "la Pologne va bien, patience "...

Écrire ou ne pas écrire ?.. C'est ma question du jour.. Heureusement que j'arrive au travail et je vais pouvoir penser à autre chose

mercredi 9 mars 2016

D'où viennent les bébés ?....

Parler de l'adoption à son enfant, dès le plus jeune âge, dès son arrivée / rencontre, est plus que recommandé. La théorie, c'est bien. Mais en pratique il paraît que les enfants choisissent le plus souvent l'endroit le moins sécurisant (pour nous) pour poser ses questions 
C'est bien d'être prévenue :-)

Voici un article pas mal, avec des recommandations pour lancer le dialogue :


À méditer! 

mardi 8 mars 2016

8 mars

Jours important aujourd'hui : l'anniversaire du futur papa et le jour international de la femme. 

À mes amies, ma sœur, mes compagnes de voyage: 
À toi, merci! Entres toutes, nous nous aidons à être plus forte.

Depuis quelques temps je pense aussi à la mère biologique de mon enfant.. Bizarre, car mon enfant n'a encore ni nom ni visage pour nous. Mais aujourd'hui j'ai également pensé à elle, avec douceur et tristesse. Triste pour elle et mon enfant, pour la dureté de la situation, avec une pointe de culpabilité. Je me sens coupable que notre bonheur d'être parents soit basé sur la détresse de cette femme et la blessure de l'abandon de notre enfant. Rien d'original comme pensées je suppose.
Je sais, je radote un peu, désolée..